Bord de mer

J’ai trouvé ma tenue d’été ultra confortable, pour les jours où je ne veux pas me compliquer la vie. Elle se compose d’un seul vêtement : un combi-short en coton façon marin. Très doux, très léger, très ample, de grandes poches : parfait. Je l’ai acheté en brocante à une dame anglaise qui se demandait bien pourquoi j’achetai ça… Mais j’ai tout de suite vu l’esprit “maillot de bain 1900” de ce vêtement, et cela m’a plu.

Je profite de cette tenue marine pour vous dire que la prochaine mise à jour de la boutique sera consacrée au style marin. Avis aux amateurs…

[Tenue d’été de la paresseuse : combi-short, sac et canotier en brocante, chaussures New Look]

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Bonus : influences et maillots de bain rayés du début du XXème siècle (entre 1890 et 1910).

Images trouvées sur Flickr et notamment dans les groupes Retro Beach et Bathing Beauties.

Soirée d’été

Je profite de ces douces premières soirées d’été pour mettre une de mes dernières trouvailles : une robe verte plissée, des années 50. Je l’ai trouvée aux puces de Hyères. C’était la première fois que j’y allais, et je n’ai pas regretté. J’ai trouvé plein d’autres choses dont du tissu des années 50 et 60… Et j’ai très envie de me faire une robe avec! A suivre…

[Tenue de soirée estivale : robe des années 50 et lunettes Ray Ban vintage en brocante, ceinture faite maison, fleur dans les cheveux H&M, sandales Cristina Millotti]

Sandales à pétales

J’ai eu un coup de foudre pour ces sandales. Je trouve qu’elles sont à la fois rétro et actuelles. J’aime beaucoup les ouvertures en forme de pétales. Je vais pouvoir les mettre aussi en hiver, avec des collants de couleur, pour faire ressortir ces fameuses pétales…

Demain, une tenue avec ces chaussures!

[Sandales : Cristina Millotti]

Trouvaille de brocante n°15

Trouvaille de brocante n°15 : une broche “Mademoiselle et son toutou”.

J’ai trouvé cette broche au Jas des Roberts (Grimaud) ce matin. Elle représente une jeune femme tenant son caniche en laisse. Je pense qu’elle date des années 50, car la tenue de la maîtresse est typiquement de cette époque, ainsi que la stylisation des personnages et la race du chien. L’attache de la broche est aussi une indication.

La particularité de cette broche, c’est qu’elle s’attache en deux parties. Il y a l’attache pour la demoiselle et le pic du chien. La chaine, entre les deux, permet de positionner le caniche exactement où on le souhaite. Quel luxe !

Des fleurs…

Juste un petit coucou, pour vous dire que j’ai ajouté de nouvelles choses dans la boutique. Des choses fleuries! Sacha s’est incrustée sur la moitié des photos… Cherchez l’intrus!

Et puis je ne peux pas m’empêcher de vous faire bisquer un peu : hier je me suis baignée! Première baignade de l’année (j’ai fait un vœu), qui annonce, avec certitude, l’été tant attendu.

Starlette, la suite…

Je vous en parlais dans mon post précédent, mes étoiles scintillantes s’adaptent sur différents  supports grâce aux passants en élastiques collés (et cousus!) au dos de la parure.

Mon bandeau de Starlette peut se transformer en ceinture, et habiller une petite robe à fleurs.

Je glisse simplement un gros ruban de soie dans les passants. Je noue le tout autour de la taille.

[Tenue de starlette des prés : robe au marché, sac chez Marinette à St Tropez, chaussures vintage, ceinture faite maison]

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Je peux porter les étoiles autour du cou, en mettant une chaîne dans les passants. Un collier étincelant!

[Tenue de starlette fuyant les paparazzi : robe Tara Jarmon, collier fait maison ;)]

Starlette

Je connaissais déjà les œuvres de Mucha qui m’inspirent tant…

Après avoir vu ceci et cela, ça me démangeait un peu. Et puis quand Sierralemon m’a montré de si jolis “machins pour cheveux”, je n’ai pas pu me retenir. Cela faisait longtemps que ça me trottait dans la tête. J’ai rassemblé tout ce dont j’avais besoin : de la feutrine bien épaisse, des brillants à coudre (bien vintage aussi! Trouvés en brocante), du fil, une aiguille, colle, ruban… Des heures de travail plus tard, je me sens un peu comme La Poupée Qui Fait Non avec sa chapelle Sixtine du tricot, sauf que moi, ça brille!

J’ai pris quelques photos au début, pour vous expliquer comment j’ai fait, et puis, dans l’élan, j’ai oublié de photographier quelques étapes…

Je reporte la forme que je veux sur de la feutrine épaisse, avec un feutre qui s’efface…

Je couds les brillants, un à un, à l’intérieur des étoiles.

Une fois les étoiles remplies, je découpe autour. Je fais une sorte de point de bourdon, tout autour des étoiles pour bien finir la pièce.

Je colle de la feutrine au dos pour cacher les coutures. Je couds de petits élastiques pour adapter mes étoiles à différents supports…

Et, tadaaa! Voici une première manière de porter les étoiles :

[Tenue de starlette : robe vintage, bandeau étoiles fait maison!]

Trouvaille de brocante n°14

Trouvaille de brocante n°14 : un marin brodé

J’ai trouvé ce petit marin brodé au point de tige (il me semble!), à la brocante du Jas des Roberts, à Grimaud. Je pense qu’il arrive tout droit des années 60. J’aime beaucoup cette petite scène :  un minuscule voilier, avec un marin/poupon à son bord, sur une mer agitée, le tout dans une quiétude invraisemblable. On dirait qu’il nous nargue…

Je vais probablement m’en servir pour faire un sac. A voir…

Robe en tapouillon

J’ai trouvé cette robe fleurie, cet hiver, en brocante. Elle était au fond d’un carton, en tapouillon. Elle ne ressemblait pas à grand chose. J’ai d’abord été attirée par le motif, pensant que ce n’était qu’un morceau de tissu. Et puis, je me suis aperçue que c’était une sublime robe des années 40, en crêpe de soie. Elle a probablement été faite par une couturière. Le tissu est fabuleux. Et il parait qu’à cette époque, un tissu avec une aussi grande variété de couleurs coûtait cher, car il fallait de nombreux passages à l'impression. La propriétaire de cette robe l’a conservée soigneusement, à mon tour maintenant de lui faire honneur!

Musique : Phoenix - Lisztomania

[Tenue d’été de la dompteuse de toutous : robe des années 40 en crêpe de soie et sac-mallette des années 50 en brocante, serre-tête H&M, sandales New Look]

Le mystère du chignon géant

Aujourd’hui, je vous confie le secret de cet énorme chignon. Car il y a bien un trucage…

J’ai les cheveux fins et indisciplinés (comme ils disent dans la pub). Mais j’adore les énormes chignons ronds de danseuse. Alors j’utilise de quoi rembourrer mon chignon, et le faire tenir.

Voici mon attirail à chignon géant :

Les deux éléments importants sont le beignet (aussi appelé couronne), et le machin en caoutchouc beige (dont je ne me souviens plus du nom :s ). Le beignet, c’est la boule de résille marron avec un trou au milieu. Il en existe de chaque couleur de cheveux, et de différentes tailles. Le machin beige s’ouvre et se ferme en se clipsant. Il est également fendu dans la longueur. J’ai trouvé tout cela chez Claire’s.

Voici comment procéder :

Brossez bien vos cheveux. Faites une queue de cheval, à la hauteur souhaitée pour le chignon (dans la nuque pour un chignon à l’espagnole, très haut sur la tête pour un chignon de ballerine).

Passez le beignet autour de la queue de cheval.

Ensuite, vous faites passer vos cheveux dans la fente du “machin” en caoutchouc. Vous enroulez le tout jusqu’à la base de la queue, en tendant bien.

Quand vous arrivez au beignet avec votre rouleau de cheveux, vous entourez la base de la queue de cheval avec le rouleau de cheveux. Vous clipsez le machin en caoutchouc. Ainsi, vous recouvrez une partie du beignet. Il ne reste plus qu’à faire glisser délicatement les cheveux autour du beignet, jusqu’à ce qu’il soit entièrement recouvert.

Pour finir, vous pouvez mettre la laque et/ou des pinces pour faire disparaître ces petits cheveux qui dépassent de partout (grrr, je les hais!). Vous pouvez aussi décorer votre chignon. J’ai utilisé les ornements que j’avais fait pour mon bibi-canotier. C’est pile la bonne taille. Les fleurs pour l’été, la dentelle pour… le folklore breton?!